« La photographie convertit la vie à des formes (figures), mais la vie n’a pas de forme, elle est à la fois diffuse et concentrée. Mon étude s’est orientée vers des portraits particularisés du paysage : un territoire pour faire oublier l’image-image ; en contrepartie y installer l’histoire qui l’a fait vivre et perpétuer l’action. J’en suis donc venue entre autres à faire des prélèvements (prise de vie). Le support photographique devient donc lieu où l’alchimie fait son propre parcours. »